Presque tout le monde peut témoigner de la difficulté de briser certaines habitudes. Malgré ce que certains en disent, il ne s'agit pas de paresse et de mauvaise volonté.
En fait, les recherches sur des cerveaux de souris montrent qu'il existe une activité électrique spécifique dans certaines régions du cerveau des souris ayant développé de "mauvaises habitudes" (dans ce cas, la dépendance au sucre). Un peu comme si deux circuits co-existaient : un circuit GO et un circuit STOP. Les deux circuits fonctionnent chez les souris dépendantes au sucre, mais le circuit GO s'active en premier. Bien qu'il soit difficile d'étendre ces résultats directement aux humains, les auteurs notent que certaines techniques spécifiques peuvent aider à briser les mauvaises habitudes et à développer de plus saines. http://today.duke.edu/2016/01/habits Si certains parents croient encore que le châtiment corporel (donner la fessée ou frapper sans faire de blessure visible) est une façon adéquate d'éduquer un enfant récalcitrant, il faudrait aussi rappeler que cela risque d'avoir un fort impact négatif sur la santé mentale de l'enfant. Ainsi, on retrouve une augmentation de l'impulsivité et des comportements anti-sociaux. De plus, cela risque d'augmenter la probabilité de comportements violents à l'âge adulte.
Plutôt que de les blâmer, l'article conclut que les parents qui s'engagent dans ce type de violence envers leur enfant ont besoin d'une aide professionnelle pour les aider à diminuer leur stress et à développer des formes de discipliner l'enfant qui sont moins dommageables et plus efficaces. Un psychothérapeute peut apporter ce type d'aide et de guidance parentale. http://www.iflscience.com/editors-blog/it-ok-spank-misbehaving-child-once-while Lorsqu’il est question de psychothérapie, le psychologue, le détenteur de permis de psychothérapeute et le médecin offrent le même traitement.
http://www.ordrepsy.qc.ca/fr/public/la-psychotherapie/difference-psychologue-psychotherapeute.sn Dans un monde où tout va de plus en plus vite, où le stress affecte la santé, il convient de développer et de pratiquer des techniques qui vous aideront à relaxer. Voici quelques techniques :
La respiration rythmique : Comptez lentement jusqu'à cinq en inspirant et comptez lentement jusqu'à cinq en expirant. La méditation: La méditation consiste à se concentrer sur des l'éléments de l'environnement externe (ex. auditifs, visuels) ou interne (ex. état émotif). La relaxation progressive: Elle consiste à contracter et relâcher les muscles, en commençant par les orteils jusqu'à la figure. Contractez les muscles entre 10 et 20 secondes. La relaxation autogène: Cette méthode consiste à imaginer que vos muscles sont très lourds (très relaxés). Lorsque les muscles qui entourent les vaisseaux sanguins sont relaxés, ces muscles deviennent plus chaud à cause du flot sanguin qui circule plus librement. La relaxation par imagerie mentale: Visualisez mentalement des scènes calmes et paisibles. Vous pouvez en lire plus ici : Quelles sont les techniques de relaxation? |
AuteurJe vais faire partager ma passion et ma curiosité pour la sexologie, la psychothérapie, les approches de 3e vague en thérapie cognitive-comportementale, la neuroscience et la science en général. Archives
Avril 2019
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