1) La question la plus importante à se poser quand on se sent déprimé : je peux exprimer de la gratitude pour quelle chose ou pour quoi.
Il semble que la culpabilité et la honte activeraient des circuits neurologiques semblables aux circuits de récompense. Donc, le fait de ruminer ses problèmes feraient en sorte que le cerveau se sente un peu mieux. Même si on fait quelque chose d'inutile, au moins, on fait quelque chose. Par contre, une façon beaucoup plus utile serait de se demander : à propos de quoi puis-je exprimer de la gratitude. Non seulement le fait d'exprimer de la gratitude aiderait, mais le seul fait de chercher serait utile. 2) Étiquetez les émotions négatives. Vous vous sentez mal? Ça ne va pas bien? Juste le fait de donner un nom à ce malaise, tristesse, anxiété, colère, va aider à mieux se sentir. Le fait de tenter de supprimer les émotions de donne rien, et souvent rend la situation pire. En thérapie ACT, on pourrait parler d'acceptation et de défusion. 3) Prenez une décision. Le seul fait de prendre une décision va aider à se sentir mieux. Il n'est pas nécessaire de prendre la décision parfaite, de viser le 100%. Une décision "suffisamment bonne" fait très bien l'affaire. En thérapie ACT, on pourrait parler de diminution de l'évitement et de l'action engagée. 4) Établissez un contact physique avec quelqu'un. Il ne s'agit pas de toucher n'importe qui au hasard, n'importe comment (ce qui pourrait vous amener des problèmes). Prenez le temps de faire un câlin bien senti à une personne que vous appréciez. L'effet de ce toucher serait étonnamment puissant : augmentation de la capacité de persuasion, augmentation de la performance en travail d'équipe, augmentation de la capacité de flirter, augmentation des habiletés mathématiques, diminution de la douleur. Désolé, il semble que le fait de texter ne fasse pas le même effet. http://time.com/4042834/neuroscience-happy-rituals/ Plusieurs personnes sont tout à fait heureuses d'être célibataire. Mais si vous êtes à la recherche de l'âme soeur, certains facteurs inconscients pourraient vous mettre des bâtons dans les roues.
1) Vous êtes attiré, plus ou moins consciemment, vers un certain type physique de partenaire difficile à trouver. 2) Vous êtes encore attaché inconsciemment à votre ex-partenaire. 3) Vous êtes dans un entourage avec un ratio hommes-femmes défavorable. https://www.psychologytoday.com/blog/dating-and-mating/201602/3-ways-your-unconscious-mind-may-be-keeping-you-single Il arrive souvent d'entendre de la part de clients en consultation "qu'au moins" dans leur enfance, ils n'ont pas été victimes de violence physique, juste psychologique. Un peu comme si le fait qu'il n'y a pas de trace physique de la violence psychologique rendait celle-ci moins grave, plus acceptable. Que ce soit la rivalité dans la fratrie qui tourne à l'intimidation par manque de supervision parentale, que ce soit un parent qui dénigre, humilie, rejette l'enfant, les marques laissées dans le cerveau sont profondes.
1) Les circuits neurologiques de la douleur physique et la souffrance psychologique semblent être les mêmes. 2) Les agressions verbales changent la structure de cerveau en développement de l'enfant. 3) Les effets des agressions verbales sont plus grands que les effets de la démonstration d'affection. 4) Le côté volontaire des blessures psychologiques, ou physiques, blessent encore plus. 5) Les agressions verbales et les abus sont internalisés et deviennent de l'auto-critique exagérée. https://www.psychologytoday.com/blog/tech-support/201602/5-things-everyone-needs-know-about-verbal-abuse |
AuteurJe vais faire partager ma passion et ma curiosité pour la sexologie, la psychothérapie, les approches de 3e vague en thérapie cognitive-comportementale, la neuroscience et la science en général. Archives
Avril 2019
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