Il arrive souvent d'entendre de la part de clients en consultation "qu'au moins" dans leur enfance, ils n'ont pas été victimes de violence physique, juste psychologique. Un peu comme si le fait qu'il n'y a pas de trace physique de la violence psychologique rendait celle-ci moins grave, plus acceptable. Que ce soit la rivalité dans la fratrie qui tourne à l'intimidation par manque de supervision parentale, que ce soit un parent qui dénigre, humilie, rejette l'enfant, les marques laissées dans le cerveau sont profondes.
1) Les circuits neurologiques de la douleur physique et la souffrance psychologique semblent être les mêmes. 2) Les agressions verbales changent la structure de cerveau en développement de l'enfant. 3) Les effets des agressions verbales sont plus grands que les effets de la démonstration d'affection. 4) Le côté volontaire des blessures psychologiques, ou physiques, blessent encore plus. 5) Les agressions verbales et les abus sont internalisés et deviennent de l'auto-critique exagérée. https://www.psychologytoday.com/blog/tech-support/201602/5-things-everyone-needs-know-about-verbal-abuse Les commentaires sont fermés.
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